dialogue_politiqueLe huitième round du dialogue politique inter-guinéen a permis de décrisper l’atmosphère tendue qui s’était invitée dans les discussions. Mouvance et opposition ont annoncé des avancées significatives. Rien n’est formel pour l’instant. N’empêche certains acteurs se sont prononcés sur les différents points de divergence.

Pour docteur Deen Touré, cette journée de discussion a confirmé la tenue des élections locales découplées conformément à la proposition de la CENI. «Les textes de la CENI seront examinés par voie parlementaire tel que l’UFR l’a également souhaité et recommandé », a-t-il ajouté.

Docteur Faya Millimono est sidéré par la décision des deux blocs qui, selon lui, est une manière de prendre en otage la démocratie en Guinée par le prolongement des partis nationaux jusqu’à la base. Contrairement aux porte-paroles de l’opposition et de la mouvance, il laisse entendre que les lignes n’ont pas encore bougé, car il y a eu une violation grave des textes qui régissent l’organisation des élections en Guinée. De ce fait, il annonce sa désunion de l’opposition républicaine qui opte comme sa rivale de l’opposition pour la nomination des chefs de quartier.

Mouctar Diallo du NFD, quant à lui, s’abstient de tout commentaire en attendant de voir le contenu des clauses qui vont sortir de ce dialogue.

Aliou Diallo pour www.guinee58.com

Le huitième round du dialogue politique inter-guinéen a permis de décrisper l’atmosphère tendue qui s’était invitée dans les discussions. Mouvance et opposition ont annoncé des avancées significatives. Rien n’est formel pour l’instant. N’empêche certains acteurs se sont prononcés sur les différents points de divergence.

Pour docteur Deen Touré, cette journée de discussion a confirmé la tenue des élections locales découplées conformément à la proposition de la CENI. «Les textes de la CENI seront examinés par voie parlementaire tel que l’UFR l’a également souhaité et recommandé », a-t-il ajouté.

Docteur Faya Millimono est sidéré par la décision des deux blocs qui, selon lui, est une manière de prendre en otage la démocratie en Guinée par le prolongement des partis nationaux jusqu’à la base. Contrairement aux porte-paroles de l’opposition et de la mouvance, il laisse entendre que les lignes n’ont pas encore bougé, car il y a eu une violation grave des textes qui régissent l’organisation des élections en Guinée. De ce fait, il annonce sa désunion de l’opposition républicaine qui opte comme sa rivale de l’opposition pour la nomination des chefs de quartier.

Mouctar Diallo du NFD, quant à lui, s’abstient de tout commentaire en attendant de voir le contenu des clauses qui vont sortir de ce dialogue.

Aliou Diallo pour www.guinee58.com