insalubriteMborré ! Ton cancanier n’est pas tranquille. Il s’effare du retour en force des sectateurs de la Révolution sékoutouréenne sur les sites guinéens et qui mijotent pour le maintien au trône de Goby Condé au palais Gokhi Fokhè à Cona-cris. Ils infestent actuellement Gbassikolo où Laure Karcher qui, dans la carapace d’une Sainte-Nitouche, distille des propagandes en faveur de Gobykhamé, le forban du bled. C’est une sectatrice de Sékou Touré et ce qu’elle dit sur ce site est trop grave pour que les familles des victimes du régime de la Révolution croisent les bras dans la veulerie.

Lisez bien ce que dit cette irréductible négationniste, sa parole est longuette mais lisez parce que ça vaut vraiment un procès en bonne et due forme :

« C’est vrai que dans l’ensemble - sauf pour un ou deux cousins éloignés - ma famille maternelle n’a pas souffert sous le gouvernement de Ahmed Sékou Touré. Mais je trouve excessif de le qualifier de « sanguinaire » comme de qualifier Alpha Condé de « tyran ». Il faut vérifier le sens du mot « tyran », Benn Pepito. Si Alpha Condé était un « tyran », il n’y aurait pas toutes ces radios et chaînes de télévision où les gens s’expriment librement. Et je pense sincèrement qu’Alpha condé sait s’adresser à un public, retenir son attention, il parle bien, il ne lit pas de discours, comme le font la plupart de nos dirigeants africains. Et jusqu’à preuve du contraire (jamais apportée à ce jour), le chiffre de 50 000 «victimes» d’AST est une invention. Tout le monde ne peut pas mentir quand même ! Comment se fait-il que personne, ni aucune organisation n’a confirmé ce chiffre ? Dans d’autre pays, d’autres contextes, on gonfle aussi les chiffres car ce sont des estimations et parce qu’en gonflant les chiffres, on « bétonne », on conforte une thèse politique : les gens ne s’aperçoivent pas que c’est la nature du régime qui est en cause et que même avec des chiffres moins élevés, le régime n’en sort pas forcément « meilleur ». Dans le génocide des Tutsis et Hutus modérés au Rwanda, les chiffres oscillent entre 800 000 ou un million ou plus de gens massacrés. Pareil pour le massacre du régime de Pol Po au Cambodge, ou le génocide des juifs : je possède un livre d’un Américain de confession juive dont la famille a en grande partie péri dans ce génocide mais qui conteste la véracité du chiffre couramment admis, environ 3 millions. Si on remonte plus loin, la Révolution française s’est faite dans des massacres (le « terreur ») insensés. Mais comme la Révolution a fini par triompher, non sans mal ni sans guerre, nous célébrons de nos jours la République ! »

Zut ! La Sainte-Nitouche a l’audace de dire des platitudes de cette nature sur la place publique. Elle affiche même sa bobine et ne craint pas d’être trimbalée devant un quelconque tribunal de l’histoire parce qu’elle se croit en droit de contester et de minimiser le nombre des victimes du régime sanguinaire de Sékou Touré. Elle qualifie le nombre de 50000 victimes du régime barbare de Sékou Touré de « fantaisiste », insulte la mémoire de nos parents sauvagement massacrés par la Révolution.

Combien de Guinéens avaient été mitraillés à la frontière entre la Guinée et le Sénégal alors qu’ils cherchaient à fuir la Révolution ? Vous voyez ! le débat est trop grave pour qu’il se cantonne uniquement sur Gbassikolo.

Vous qui avez connu la Karcher, dites-nous qui est-elle réellement ? On la soupçonne d’avoir été une taupe de Sékou Touré et de sa Révolution alors basée à Abidjan. Elle disait, hier, être venue en Guinée deux fois quand la Révolution battait son plein. Elle ne donne pas les dates et ne dit pas à quelle occasion. Qu’est-ce qu’elle était allée foutre à Cona-crime à l’époque ? Etait-ce pour rencontrer Sékou Touré ou les autres dignitaires de la Révolution pour leur dire quoi ? Ismaël Touré le demi-frère du Tyran était fréquent à Abidjan et les Guinéens vivant en Côte d’Ivoire à l’époque faisaient le dos rond.

Qui de vous se souvient avoir dit quelque chose en présence de cette Sainte-Nitouche et qui par la suite avait eu maille à partir avec les gardiens de la Révolution ? Replongez-vous dans vos souvenirs, s’il vous plaît, et dites-nous tout sur la Sainte-Nitouche. L’on est très inquiet. Pourquoi ? Parce que depuis un certain temps elle fait des papouilles à Goby Condé sur Gbassikolo. Et ce n’est pas fortuit. On la soupçonne de mijoter quelque chose de louche, un peu comme ce qui est en train de se tramer à Bamako pour le tripatouillage de la constitution toujours en faveur du glouton au perchoir.

La Karcher en question se la coule douce à Abidjan. Elle s’en fiche que les populaces guinéennes se démènent dans la merde. La misère, le chômage, l’insécurité galopante dans le bled, le sabotage de l’enseignement de l’école primaire à l’Université, les détournements spectaculaires de deniers publics par Gobykhamé et son rejeton, l’état de délabrement de la Guinée, les routes crevassées qui donnent le tournis aux conducteurs, tout ça n’émeut pas la Sainte-Nitouche et la clique. Aussi paradoxale que cela puisse paraître, elle taxe votre cancanier de passéiste. Or nous aspirons aux développements économiques des Guinéens, à l’électrification du pays tout entier, nous nous battons pour que l’eau potable coule continuellement dans les tous les robinets pas seulement au palais Gokhi Fokhè, nous réclamons qu’on dispense des études de qualités aux élèves et étudiants du patelin, nous combattons le clanisme et l’ethnocentrisme et c’est nous qui passons pour des archaïques aux yeux de la Sainte-Nitouche qui roulait pour le régime loufoque de Sékou Touré. Aujourd’hui, elle roule pour le forban du palais Gokhi Fokhè qui coupe les cheveux en quatre, s’apprête à faire une entourloupette à l’opposition guinéenne en vue de rester maître du kibaniyi au delà de 2020. Vous voyez ! le risque est trop grand pour qu’on n’élargisse pas le débat sur les autres sites. Maintenant que c’est fait, nous en appelons aux radicaux du bled, soucieux de leur propre développement et du développement de la Guinée. Nous en appelons à tous ceux qui veulent une Guinée où la valeur de l’individu sera reconnue et respectée, et qui aspirent à la création d’une société guinéenne où toutes les compétences et autres potentialités de l’individu, quel qu’il soit, s’exprimeront librement. C’est comme ça que Saul Alinsky définit le radical dans son chef d’œuvre : « Radicaux, Réveillez-vous ! » Pour Saul Alinky :

« Le radical se bat contre toute concentration de pouvoir hostile à une démocratie élargie, populaire, qu’il la trouve dans les cercles financiers ou dans la vie politique. »

C’est exactement ce que les radicaux Bamakois ont compris. Ils étaient des milliers de manifestants dans les rues de Bamako à s’opposer au tripatouillage de la constitution qui vise à concentrer tous les pouvoirs entre les mains de leur président Ibrahima Boubacar Keïta (IBK), dans sa boulimie de chefferie. Et ils ont réussi à faire reculer le glouton qui renvoie son affaire de référendum sur la constitution sine die. Ils ont quitté la rue mais ils restent vigilants sur la question.

En Guinée aussi, le régime de Goby Condé mijote pratiquement la même chose. Goby Condé n’envisage pas de lâcher le pouvoir à la fin de son mandat en 2020. Pas vraiment parce qu’il est patriote ou soucieux de devenir du patelin. Gobykhamé est au perchoir depuis 2010. Et regardez aujourd’hui, s’il vous plaît, à Cona-cris les quartiers de Boulbinet, Manquepas, Coronthie, Almammya, Kouléwondy, Sans-fil, Sandervalia, Tombo dans Kaloum, les quartiers Belle-vue école, Belle-vue-marché, Camayenne, Cameroun, Dixinn-cité 1, Dixinn-cité 2, Dixinn-gare-rails, Dixinn-mosquée, Dixinn-port, Hafia 1, Hafia 2, Hafia-minière, Hafia-mosquée, Kénien, Landréah, Minière-cité dans Dixinn, les quartiers Bonfi, Madina-marché, Boussoura, Mafanco, Carrière, Coléah-centre, Coléah-cité, Domino, Madina-cité, Madina-école, Madina-centre dans Matam, les quartiers Tombolia, Dabompa, Dabondy, Tanéné, Matoto, Gbéssia dans Ratoma. Zut ! Ce sont là des quartiers pauvres de la capitale Cona-cris, la dégueulasse, la sale, la puante. Et pourtant ce sont les quartiers les plus en vue de Cona-cris. Et faites un safari à l’intérieur du pays pour toucher du doigt la réalité que les populaces vivent au quotidien dans leur quartier pauvre.

C’est quoi d’ailleurs un quartier pauvre ? Selon Saul Alinsky « Un quartier pauvre, c’est une décharge humaine crasseuse, misérable, malsaine, où règnent la frustration et le désespoir. C’est un lieu où des gens subsistent parce qu’ils n’ont pas assez d’argent pour vivre ailleurs. »

Vous qui connaissez et vivez au quotidien les réalités du bled, dites si Saul Alinsky a raison ou non ? Après son resquillage à la présidentielle de 2010, Goby a nourri ses quartiers pauvres d’illusions. Et qu’est-ce qui a réellement changé, à ce jour, dans ces quartiers ? Absolument rien. Cona-cris croule toujours sous des monticules d’immondices, des eaux usées et puantes stagnent dans ses rues, et les coupures d’électricité et les coupures d’eau potable dans les robinets sont toujours d’actualité dans le patelin. Il n’y a aucune amélioration sur le plan du développement du pays. Pire encore, près trois mille (3000) personnes ont été massacrées dans tout le pays par le régime de Goby Condé jusqu’à ce jour. Et une lecture partielle du martyrologe de son règne dictatorial à Cona-crimes donne ça :

Djakariaou Diallo, 20 ans, première victime du régime barbare de Goby, est tué par balle le 03/04/2011 à Ratoma. Amadou Diouldé Diallo, 18 ans, à Yattaya, Mamadou Yaya Diallo, 31 ans, à Sonfonia, Mamadou Bhoye Barry, 35 ans, à Dar-Es Salam, Mamadou Lamine Bah, 22 ans, à Afia Minière, sont tous liquidés dans Cona-crimes par les forces répressives de Goby.

Du 22/09/2012 au 27/10/2012, les flics liquident Alghassimou Diallo, Mamadou Fodé Bah, Mamadou Djan Bah à Concasseur, Ibrahima Sow à Cosa, Thierno Soufiane Diallo, Ibrahima Diallo, Mamadou Diouldé Barry, Mamadou Tidjane Bah à Matoto, Alpha Amadou Barry à Bombolie.

Du 02/03/2013 au 26/05/2013, les nervis de Goby massacrent dans Cona-crimes Abdoulaye Sow, 16 ans, à Koloma, Souleymane Diallo, 18 ans, à Hamdallaye, Bah Amadou Téla, 23 ans, à Hamdallaye, Abdoul Thierno Bah, 18 ans, à Koloma, Albert Fara Touré le 03/03/2013, Mamadou Diawné, 21 ans, à Hamdallaye, Mamadou Aliou Bah, 21 ans, à Cosa, Hasmiou Bah, 24 ans, à Cosa, Amadou Oury Diallo, 24 ans, à Bambéto, Boubacar Diallo, 16 ans, à Hamdallaye, Thierno Bella Sow, 22 ans, à Kissosso, Ousmane Barry, 14 ans, à Bambéto, Mamadou Lamarana Diallo, 21 ans, à Koloma par arme blanche, Amadou Korka Diallo, 22 ans, à Koloma, Mamadou Baïlo Bah, 25 ans, à Cosa, Alpha Ousmane Barry, 23 ans le 23/05/2013, Abdoul Gadir Diallo, 29 ans, à Bambéto, Alpha Ibrahima Diallo, 28 ans le 23/05/2013, Alseny Sow, 16 ans le 23/05/2013, Alhassane Sylla, 15 ans le 23/05/2013, Mamadou Adama Diallo, 13 ans, à Lambadji, Abdoul Bandiougou Barry, 14 ans, à Kipé, Amadou Touppé Diallo, 17 ans, à Dar-Es Salam, Amadou Diouldé Diallo, 29 ans, à Dar-Es Salam, Mamadou Oury Barry, 22 ans, le 25/05/2013, Aladji Salamana Barry, 19 ans, à Bombolie.

En dépit de tous ces massacres Gobykhamé trouve grâce aux yeux de la Sainte-Nitouche qui reproche à votre cancanier le fait de qualifier le forban du palais Gokhi Fokhè de tyran. Le régime de Goby sème la mort dans le bled. Il musèle la presse, intimide les journalistes indépendants, harcèle ses opposants politiques. Il atrophie la justice, la liberté, et la démocratie dans le pays. Goby est un autocrate qui ne parle de la démocratie que sur le bout des lèvres. Dans l’âme, Goby est un pire ennemi de la démocratie. Comme le dit Alinsky :

« La démocratie est vivante. Comme toute chose vivante, elle grandit et s’épanouit, ou elle dépérit et meurt. Il n’y a pas de demi-mesure. C’est la liberté et la vie ou la dictature et la mort. »

La démocratie c’est la démocratie. Or l’intention de Goby Condé c’est de tropicaliser la démocratie, d’imposer une démocratie atypique dans le patelin afin de régner jusqu’à la fin de ses jours. On n’a pas besoin de démocratie nègre en Guinée. On veut la démocratie point barre.

C’est pourquoi c’est dès maintenant que les jeunes de Kindia, Coyah, Forécariah, Télimelé, Dubrèka, Boké, Boffa, Fria, Labé, Mamou, Pita, Dalaba, Mali, Lélouma, Koubia, Gaoual, Koundara, Tougué, Kankan, Faranah, Kérouané, Dinguiraye, Siguiri, Kouroussa, Dabola, N'Zérékoré, Guéckédou, Kissidougou, Macenta, Beyla, Lola, Mandiana et Yomou doivent 

se mobiliser et rester en éveil en prélude à toute manipulation de la loi, de la constitution de la part du régime de Goby Condé.

Le dimanche 25 juin dernier, l’imam Mamadou Salifou Camara a pontifié dans la cour du palais Gokhi Fokhè sur le respect et l’application stricte de la loi. En fait l’imam Camara recommande que l’on applique la loi dans toute sa rigueur à tous les Guinéens. On veut bien que le respect de la loi soit de rigueur et vigueur dans le bled. Que Goby Condé abandonne son idée de tripatouiller la loi pour rester en poste ! Que Gobykhamé respecte la loi et se retire du pouvoir en 2020 comme le stipule la loi. Goby Condé n’est pas au dessus de la loi. A ce que l’on sache. Si Goby refuse de respecter la loi qu’on le dégage alors par tous les moyens du palais Gokhi Fokhè. Mantra de l’imam Salifou Camara ! Sinon ce serait justement de l’impiété de la part de Goby si pour satisfaire son ambition personnelle à jouir des attributs du pouvoir piétine la loi pour rester en poste. Mais ne nous trompons pas sur la conception que ce fait Goby du pouvoir. C’est une tête de mule qui ne va pas s’embarrasser de morale religieuse pour rester scotché au trône jusqu’à sa mort. Il faut le dégager dans l’intérêt supérieur de la Guinée. Il faut l’écarter du pouvoir si nous voulons vraiment assurer un avenir prometteur aux élèves et étudiants guinéens, si nous voulons impulser un développement durable et la démocratie dans le pays, si nous aspirons à recoudre le tissu social pour asseoir une véritable unité nationale dans les prochaines années. Nous savons tous que rien de tout cela n’est réalisable avec un Goby au pouvoir qui exacerbe les divisions ethniques en Guinée, ment et use de la manipulation politique. Il faut absolument l’empêcher de fricoter la constitution pour son propre plaisir.

Afakoudou ! Ce qui s’est passé au temps du régime despotique de Sékou Touré et ce qui se passe actuellement avec Goby Condé au palais Gokhi Fokhè n’a encore été vu nulle part ailleurs dans le monde.

Sékou Touré bunkerise la Guinée, fait mitrailler par l’armée guinéenne un nombre incalculable de Guinéennes et de Guinéens qui cherchaient à s’échapper à partir des frontières terrestres de la grande prison qu’était la Guinée, ordonne la mise à mort de celles et de ceux qui le gênaient en exigeant que l’exécution des suppliciés se fasse en présence des membres de leurs familles et que ceux-ci applaudissent son œuvre macabre et répètent à l’unisson du peuple abruti en chœur : « Longue vie au chef suprême de la Révolution ! Longue vie au guide de la Révolution ! Longue vie au camarade président Ahmed Sékou Touré ! » Le psychopathe ne se donne plus de limite dans sa folie meurtrière. Il tue et tente de se faire passer pour « Madiwou » au regard du nombre monstrueux de ses victimes (environ 50.000 morts). Il se mystifie aux yeux de ses sectateurs qu’aucun Guinée ne montrera, un jour, du doigt en disant : « Ici repose Sékou Touré ! » Pour aller mourir à Cleveland (Etats-Unis) au cœur de l’impérialisme qu’il n’avait eu cesse de pourfendre. Et l’ignare président Lansana Conté baptise le palais Gokhi Fokhè du nom de son prédécesseur comme pour martyriser davantage les familles des victimes du régime de Sékou Touré.

Monnè ! On tuait nos papas, nos mamans, nos tantes, nos oncles, nos sœurs, nos frères, on crachait sur leurs cadavres en notre présence et on nous contraignait à chantonner en boucle : « Prêt pour la Révolution ! A mort les traîtres de la Révolution ! Au poteau les traîtres de la Révolution ! Longue vie au chef suprême de la Révolution ! Longue vie au camarade président Ahmed Sékou Touré ! » Et maintenant, des conasses ont l’impertinence aujourd’hui de salir leur mémoire et de chanter Amadou Boucher Sékou Touré sur internet à visage découvert. Quel outrage !

La Sainte-Nitouche « pense sincèrement qu’Alpha condé sait s’adresser à un public, retenir son attention, il parle bien, il ne lit pas de discours, comme le font la plupart de nos dirigeants africains. » Il ne faut pas pousser mémé dans les orties. L’on sait Goby Condé qui vasouille des mots incompréhensibles, qui zézaye des choses inaudibles, qui fabrique des phrases sans tête ni queue, qui fait des fautes grammaticales énormément dans son parler, qui va du coq à l’âne dans ses discours. Dire ce que dit là la Sainte-Nitouche : c’est de la lèche. Elle caresse Goby Condé dans le sens du poil dans un but inavoué. Et elle le fait sans vergogne pensant que les populaces guinéennes, qui triment en ce moment dans la pauvreté et la misère, sont niaises et boivent par les narines. « Eclairez le peuple dans son ensemble, et la tyrannie et l’oppression du corps et de l’esprit s’évanouiront comme des fantômes au point du jour. » Dixit Thomas Jefferson. Radicaux du bled ! Vous avez mission d’éclairer les populations jusque dans les hameaux. Afin qu’elles se mobilisent pour empêcher Goby de tripoter la constitution en sa faveur. Toutes et tous unis pour le changement radical de régime politique en 2020 et pour le développement effectif et durable des Guinéens et de la Guinée.      

Benn Pepito